Saniprotect contre le coronavirus Convid-19
La matière plastique donc la lunette de wc pourrait- être porteur du virus au moins 72 heures, soit pendant 3 jours. Consultez le site de l’Organisation mondiale de la santé ICI
Pour stopper le Coronavirus Covid-19 , cela necessite aux toilettes une hygiène parfaite. Il ne faut pas mettre le virus en contact avec une partie du corps qui pourrait être touché par les mains. les toilettes ne font pas exception à cette règle, un milieu humide est loin d’être exempté.
Pour résumer:
Premièrement le coronavirus est volatile.
Deuxièmement le coronavirus peut se fixer sur une matière plastique donc aussi sur une lunette WC.
En conséquence: la lunette de WC Saniprotect est capable de vous isoler du contact avec la partie éventuellement contagieuse.
Les gestes barrières nous imposent un masque et surtout de ne pas toucher un objet qui aurait été touché par quelqu’un porteur du virus. Une lunette de WC peut rester infectieuse jusqu’à 72heures soit 3 jours sur du plastique. Notre protection de lunette WC Saniprotect sera remise en production pour répondre à une demande croissante. Notre entreprise exprime sa volonté de tenter de faire du “Made in France” . Cette nouvelle série donnera lieu à des tests de résistance dans un milieu in hospitalier.
Son installation/entretien est très facile et ne nécessite pas d’accessoires, vous retrouverez toutes les vidéos nécessaires, un blog d’article est à votre disposition.
Vous pouvez entrer très rapidement en contact avec nous, même en dehors des heures de bureau avec un responsable, un bouton demande de devis est sur chaque page de notre site internet
Vous retrouverez la Marque saniprotect sur demande chez les revendeurs d’hygiène.
Nous ne louons pas nos appareils, nos protections de lunette wc sont destinées à la vente, vous ne payerez donc seulement ce que vous consommez: Pour information “Saniprotect” est une marque déposée à l’INPI. Cette marque est donc bien concurrente de la marque Sanisiege ou Saniseat utilisées par le GIE ELIS et ses sous licenciés résultant de l’utilisation des marques françaises n° 99786971 et n°1228357 (source : extrait du jugement rendu le 01 juin 2010 réputé public). Il ne peut donc pas s’agir d’une éventuelle contrefaçon.
Ecrire un commentaire